Je je prendrais mon dernier repas à la maison familiale dans laquelle j'ai grandi , dans la campagne du Nottinghamshire. C'était un vieux cottage :cosy et chaleureux avec des poutres au plafond. Je devrais avoir un feu ouvert.
Je devrais avoir de la bonne musique. J'ai des goûts tellement éclectiques, de New Order à Jake Bugg en passant par Frank Ocean. J'aurais probablement un peu d'Oasis, pour me ramener à mon enfance. C'était un groupe tellement énorme quand je grandissais, partout où tu allais, dans les pubs, à la radio. J'ai aimé la façon dont ils étaient un peu rebelles.
Je commencerais par un gin tonic. Pas de grignotines, juste du gin supplémentaire. J'adore un martini vesper de temps en temps, et je suis assez friand de l'étrange milkshake à la banane. Mais surtout, je suis un grand fan de gin, et le Monkey 47 est mon préféré :intensément floral avec 47 plantes (canneberge, genévrier, graine de coriandre, graine de fenouil, bergamote…)
Pour commencer, il y aurait un cocktail de crevettes classique avec du pain bis et du beurre. C'est quelque chose que je mangeais quand j'étais enfant - ma mère le faisait toujours le jour de Noël.
Je prendrais un steak frites en plat principal, avec une sauce béarnaise . Quand j'ai déménagé pour la première fois à New York, pour travailler chez Per Se pour Thomas Keller, j'allais toujours au Balthazar sur Spring Street et je mangeais des steak frites au bar.
Avec ça, j'aurais un très, très bon verre de pinot noir. Je ne suis pas un grand fan des rouges lourds, donc le pinot est parfait - agréable et léger.
Et pour finir, une tarte au citron classique : pâte sucrée, un peu de crème fraîche à côté. Il doit être juste sorti du four et refroidi à température ambiante. C'est l'une des premières choses que j'ai appris à faire en tant que chef, dans un pub du Nottinghamshire.
Je pourrais avoir un verre de tokaji avec – un vin doux de Hongrie. J'en suis tombé amoureux, au fil du temps - il a une douceur plus profonde que, disons, un muscat - plus de raisin sec, plus de caramel.
Je ne peux pas être gourmand avec qui serait là – juste mes amis et ma famille. Et Marco Pierre White, s'il en avait envie, il pourrait venir nous rejoindre parce que c'est une putain de légende ; une rock star. Il se fout de ce qu'on pense :il adore manger et cuisiner pour l'âme…
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